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Le cône du cyprés - Festival des cabanes

Annecy - Mars 2013

Architectes : André Marie, Maladry Claire-Lise, Mesnard-Besnier Céline

Chaque année, des projets, sous forme de maquettes, font l’objet d’un concours qui se déroule du 1 Janvier au 20 Mars, puis d’une sélection des meilleures, effectuée par un jury d’architectes. Reste la construction qui a lieu avant l’été. Elle est effectuée par les architectes eux-mêmes, ou grâce à l’élan de solidarité des habitants qui sont de plus en plus nombreux à vouloir participer. Les cabanes s'intègrent ainsi au paysage. 

Autre refuge - Diplôme d'architecture

Félicitations du jury - Doris Von Drathen et Pieter Versteegh

Ecole Spéciale d'Architecture - Juin 2017

Donner la possibilité d'un soin personnalisé des troubles psychiques en ville, dans le centre de la capitale française. 

Pour la plupart construits à l'écart des centres urbains, les asiles devenus hôpitaux psychiatriques sont aujourd'hui toujours présents sur le territoire français. Leur classement au patrimoine architectural les rendent pratiquement intouchables, et ne sont pas réhabilités.

Le projet se situe dans une démarche d'inclusion dans la société, de dynamisme dans des lieux souvent oubliés. 

Il se situe dans le centre de Paris, dans un endroit caché touchant l'Eglise Saint-Eustache. Le contexte du quartier est propice, dynamique et ayant gardé un caractère de village. Entre réhabilitation et construction le quartier se transforme tout en laissant des repères spatiaux et temporels aux habitants. 

Le but est de développer l'autonomie des patients hospitalisés en structures psychiatriques, d'être en relation avec l'extérieur, tout en donnant la liberté de se réfugier dans un chez-soi.

Un ruban englobe les espaces, tissant un lien spatial entre des lieux aujourd'hui clos. 

Une courbe, libre de contrainte, permet d'avancer, de se situer, de sentir la présence matérielle de son appartenance personnelle. Elle créé une enveloppe autour des besoins humains, pour s'agrandir ou se rétrécir, ouvrir ou fermer l'espace. 

Centre cinématographique - Atelier David Tajchman

Ecole Spéciale d'Architecture - Automne 2013

Ile aux cygnes, Paris 

Ce projet de centre cinématographique sur l'île aux Cygnes à Paris résulte d'une préalable étude du trafic des véhicules, métros et piétons parcourant les quais et les ponts autour de l'île. Nous avons analysé cette étude d'après un principe simple d'acoustique : plus nous augmentons la distance séparant la source de bruit du récepteur, plus le niveau de bruit perçu diminue. 

Ainsi, la matière physique de se projet se trouve où les pics d'intensité du trafic des usagers environnant ne se trouvent pas. 

Nous avons ensuite modélisé le relief topographique résultant de ces recherches. 

Plume et tableau noir - Atelier Réza Azard

Projet à l'École Spéciale d'Architecture - Automne 2013

Architectes : Marie André & Dong Sik Kim

Des intuitions architecturales découlent des objets. 

Quatre objets nous ont permis d'explorer une série d'imaginaire traduit en situations architecturales de différentes échelles. 

Une attention particulière à la dimension sémantique et imaginaire de l'architecture et du rôle de l'écriture et des mots dans la création spatiale et architecturale a été accordée. Ce processus a permit de manipuler et de maîtriser l'architecture en tant que langage et de renforcer le rapport entre l'architecture et l'écriture.

L'atelier s'est construit sur deux séquences : la première a été consacrée à la construction d'un imaginaire qui se confronte dans un second temps à un contexte réel. Le processus emprunte une démarche poétique, littéraire et sémantique. Il permet d'explorer une grande diversité de typologies urbaines et architecturales. 

La première séquence consistait à créer un ensemble typologique de petites architectures imaginaires en écho à une oeuvre insolite de Peter Greenaway. Dans un second temps, nous avons imaginé un projet architectural sur le site de la biennale d'art et d'architecture à Venise, réhabilitant le pavillon de la Pologne. 

Constat

A Venise, on expose ce qui est produit ailleurs. 

La ville est un haut lieu de représentation. 

A Venise, les logements disponibles se raréfient, bien que la population continue à diminuer. 

Aux Giardini, le silence règne et les architectures sont abandonnées plusieurs mois dans l'années. 

Enjeu

Ramener de la production à Venise. 

Ramener de la vie aux Giardini toute l'année. 

Faire des pavillons des Giardini des entités autonomes : 

Temps 1 : habitation / production

Temps 2 : exposition

 

Programme 

Un temps de production : il est l'unité d'habitation; on y est logé. 

Et l'unité de production : on y travaille. 

Un temps d'expression : l'ensemble des espaces deviennent des lieux d'expositions. 

Pavillon de la Pologne - Biennalle de Venise 

Projet Ecole Spéciale d'Architecture - Automne 2015

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